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fdisk
) avant de lire ce document. Les
trucs ont été testés avec FreeBSD 2.2.2 mais devraient être valables pour
les versions plus récentes. N'hésitez pas à me méler si vous avez des
commentaires, questions ou suggestions concernant ce document. J'aimerais
aussi avoir des infos des gens ayant utilisé Linux avec NetBSD ou OpenBSD.
FreeBSD est un système d'exploitation libre de la famille Unix, tout comme Linux. La principale différence réside dans le fait que, au contraire de Linux qui a été écrit à partir de rien, FreeBSD est basé sur 4.4BSD-lite, les parties librement distribuables de 4.4BSD (Berkeley Software Distribution). Ce fait amène certaines personnes à suggérer que FreeBSD est plus proche du ``vrai'' UNIX® que Linux. FreeBSD tourne uniquement sur les plateformes PC Intel (i386 et suivants), des ports sur les plateformes DEC Alpha et Sun Sparc sont en cours. NetBSD et OpenBSD sont similaires à FreeBSD, et tournent tous deux sur plusieurs plateformes. Les exigences matérielles de tous ces systèmes *BSD sont à peu près les mêmes que celles de Linux.
Le développement de FreeBSD est géré différement de celui de Linux. Une équipe (le noyau) de développeurs sert d'arbitre et dirige le projet. Les gros changements sont d'abord discutés sur les listes de discussion (mailing lists). Le projet FreeBSD comprend deux arbres de développement (comme Linux) : ``-current'' (courant) et ``-stable''. Le développement des nouvelles fonctionnalités est fait dans ``-current'', alors que les évolutions des versions ``-stable'' sont limitées à des corrections de bogues ou à de nouvelles fonctionnalités minitieusement testées.
FreeBSD peut être utilisé et (re-)distribué librement comme Linux. La majorité du système est placée sous le copyright BSD, le reste est sous la licence GNU GPL ou d'autres licences open-source.
Linux et FreeBSD nomment les disques durs et les partitions selon deux principes différents. Cette section décrit les principales différences entre les deux systèmes. En fait le principe de nommage de FreeBSD est une variation du style de nommage BSD traditionnel adapté aux partitions de PC. Il est donc très proche sur ce point des autres systèmes Unix basés sur BSD tels que NetBSD, OpenBSD, Ultrix, Digital Unix, SunOS et Solaris.
FreeBSD a besoin d'une entrée dans la table de partition primaire de votre
disque dur. Cette partition primaire est appelée ``tranche'' (slice en
anglais) dans la terminologie FreeBSD. Il utilise ensuite le programme
disklabel
pour créer plusieurs partitions logiques dans cette partition
primaire. Ces partitions logiques sont appelées ``partitions'' dans la
terminologie FreeBSD. Ce concept est similaire à la façon dont Linux (et
DOS) manipule les partitions logiques dans une partition étendue. Vous ne
pouvez pas installer FreeBSD dans une partition étendue créée par Linux (ou
DOS). Notez que le programme fdisk
de Linux n'affiche pas les
partitions d'une tranche FreeBSD depuis le menu principal, mais il peut
afficher l'information de nommage de disque (disklabel) BSD si on
utilise la commande 'b'. Le résultat sera quelque chose comme ceci
(/dev/hda4
est la tranche FreeBSD) :
# fdisk /dev/hda
Command (m for help): p
Disk /dev/hda: 64 heads, 63 sectors, 621 cylinders
Units = cylinders of 4032 * 512 bytes
Device Boot Begin Start End Blocks Id System
/dev/hda1 * 1 1 27 54400+ 83 Linux native
/dev/hda2 28 28 55 56448 83 Linux native
/dev/hda3 56 56 403 701568 83 Linux native
/dev/hda4 404 404 621 439488 a5 BSD/386
Command (m for help): b
Reading disklabel of /dev/hda4 at sector 1624897.
BSD disklabel command (m for help): p
8 partitions:
# size offset fstype [fsize bsize cpg]
a: 64512 1624896 4.2BSD 0 0 0 # (Cyl. 404 - 419)
b: 104832 1689408 swap # (Cyl. 420 - 445)
c: 878976 1624896 unused 0 0 # (Cyl. 404 - 621)
e: 64512 1794240 4.2BSD 0 0 0 # (Cyl. 446 - 461)
f: 645120 1858752 4.2BSD 0 0 0 # (Cyl. 462 - 621)
BSD disklabel command (m for help): q
#
Les lettres `a'...`f' dans la première colonne sont les mêmes étiquettes (labels) que celles utilisées plus bas dans l'exemple d'une tranche FreeBSD. Il y a trois partitions spéciales dans le jargon FreeBSD. La lettre `a' désigne la partition racine, `b' la partition de swap tandis que `c' désigne la tranche en entier. Voyez la documentation pour plus d'information sur la façon ``standard'' d'affecter ces lettres aux différents types de partitions.
Les disques durs sont nommés des façons suivantes sous Linux et FreeBSD :
Linux FreeBSD
Premier disque IDE /dev/hda /dev/wd0
Second disque IDE /dev/hdb /dev/wd1
Premier disque SCSI /dev/sda /dev/sd0
Second disque SCSI /dev/sdb /dev/sd1
Les partitions (tranches FreeBSD) d'un disque IDE sont nommées de la façon
suivante (/dev/hda
est utilisé comme exemple) :
Linux FreeBSD
Première partition primaire /dev/hda1 /dev/wd0s1
Deuxième partition primaire /dev/hda2 /dev/wd0s2
Troisième partition primaire /dev/hda3 /dev/wd0s3
Quatrième partition primaire /dev/hda4 /dev/wd0s4
Les partitions de ma tranche FreeBSD sont nommées de la façon suivante. Ceci
est le nommage par défaut, qu'il est possible de changer en faisant une
installation personnalisée de FreeBSD (/dev/hda4
est la tranche
FreeBSD) :
Nom Linux Nom FreeBSD Point de montage FreeBSD
/dev/hda5 /dev/wd0s4a /
/dev/hda6 /dev/wd0s4b swap
/dev/hda7 /dev/wd0s4e /var
/dev/hda8 /dev/wd0s4f /usr
Si vous lancez dmesg
sous Linux vous verrez (le noyau linux doit avoir
été compilé avec le support UFS. Voyez la section
Installer et préparer Linux):
Partition check:
hda: hda1 hda2 hda3 hda4 < hda5 hda6 hda7 hda8 >
Si vous avez installé FreeBSD dans la tranche /dev/sd1s3
(/dev/sdb3
dans le jargon Linux), et que /dev/sdb2
est
une partition Linux étendue contenant deux partitions logiques
(/dev/sdb5
et /dev/sdb6
), l'exemple précédent ressemblera
plutôt à ceci :
Nom Linux Nom FreeBSD Point de montage FreeBSD
/dev/sdb7 /dev/sd1s3a /
/dev/sdb8 /dev/sd1s3b swap
/dev/sdb9 /dev/sd1s3e /var
/dev/sdb10 /dev/sd1s3f /usr
La commande dmesg
montrera ceci sous la forme
Partition check:
sdb: sdb1 sdb2 < sdb5 sdb6 > sdb3 < sdb7 sdb8 sdb9 sdb10 >
Si vous avez une partition étendue Linux après votre tranche FreeBSD,
vous allez avoir des problèmes. La plupart des noyaux des disquettes
d'installation Linux ne contiennent pas le support UFS, ils ne
reconnaîtront donc pas les partitions FreeBSD à l'intérieur de la tranche. Ce
qui qui aurait dû être vu comme (/dev/hda3
est la tranche FreeBSD et
/dev/hda4
est la partition étendue Linux)
Partition check:
hda: hda1 hda2 hda3 < hda5 hda6 hda7 hda8 > hda4 < hda9 hda10 >
est vu comme:
Partition check:
hda: hda1 hda2 hda3 hda4 < hda5 hda6 >
Cela peut résulter en un mauvais assignement de périphérique et provoquer des pertes de données. Je conseille de toujours mettre votre tranche FreeBSD après toutes les partitions étendues Linux, et de ne changer aucune partition logique dans vos partitions étendues Linux une fois que FreeBSD est installé !
Cette section décrit comment j'ai pu utiliser la même partition de swap pour Linux et FreeBSD. Il peut y avoir d'autres façons d'obtenir le même résultat. Vous pouvez, si vous voulez, installer FreeBSD avant Linux mais faites attention à l'ordre des partitions dans la tranche FreeBSD.
La première étape est d'installer Linux normalement. Il faut laisser de la place pour la tranche FreeBSD sur le disque dur. Il n'est pas nécessaire de créer une partition de swap Linux, mais si vous en voulez une, placez-la dans l'espace que vous voulez allouer à FreeBSD. De cette façon, vous pourrez plus tard effacer la partition de swap de Linux et récupérer l'espace pour FreeBSD.
Quand Linux est installé, il faut compiler un nouveau noyau. Lisez le HOWTO du noyau Linux si vous ne savez pas faire. Il faut inclure UFS filesystem support (read only) et BSD disklabel (FreeBSD partition tables) support:
UFS filesystem support (read only) (CONFIG_UFS_FS) [N/y/m/?] y
BSD disklabel (FreeBSD partition tables) support (CONFIG_BSD_DISKLABEL) [N/y/?]
(NEW) y
Installez le nouveau noyau et redémarrez. Enlevez toutes les lignes
contenant le mot swap dans votre fichier /etc/fstab
si vous
avez créé une partition de swap pour Linux. Soyez bien sûr d'avoir une
disquette de démarrage Linux en état de marche avec le nouveau noyau. Vous
voilà prêts à installer FreeBSD.
Installez FreeBSD comme cela est décrit dans sa documentation. Supprimez la
partition de swap Linux si vous en avez fait une (vous pouvez utiliser le
programme fdisk
de FreeBSD). Faites attention à l'ordre des partitions
dans la tranche FreeBSD. Si vous utilisez le nommage par défaut la seconde
partition sera le swap. Terminez l'installation de FreeBSD et redémarrez
sous Linux en utilisant la disquette de démarrage.
Après avoir redémarré Linux, lancez dmesg
, ce qui devrait donner
quelque chose comme ça :
Partition check:
hda: hda1 hda2 hda3 hda4 < hda5 hda6 hda7 hda8 >
Cela signifie que /dev/hda4
est votre tranche FreeBSD, alors que
/dev/hda5
, /dev/hda6
, /dev/hda7
et
/dev/hda8
sont les partitions FreeBSD. Si votre partition de swap
est la seconde partition de la tranche, c'est /dev/hda6
.
Il faut placer la ligne suivante dans votre fichier /etc/fstab
pour
valider la partition de swap :
/dev/hda6 none swap sw 0 0
Alors que FreeBSD peut utiliser n'importe quelle partition comme espace de
swap, Linux a besoin d'une signature spéciale dans cette partition. Cette
signature est créée par mkswap
. FreeBSD la détruit quand il utilise la
partition de swap partagée, il faudra donc lancer mkswap
à chaque fois
que vous démarrez sous Linux. Pour faire ceci automagiquement, il faut
trouver le script qui lance swapon
au démarrage. Dans Red Hat Linux
c'est /etc/rc.d/rc.sysinit
. Dans Debian GNU/Linux, c'est
/etc/init.d/boot
. Placez la ligne suivante dans ce fichier juste
avant swapon -a
:
awk -- '/swap/ && ($1 !~ /#/) { system("mkswap "$1"") }' /etc/fstab
Ceci lancera mkswap
sur toutes les partitions de swap définies dans
/etc/fstab
à chaque démarrage sauf si elles sont commentées (ont
``#'' comme premier caractère de la ligne).
Sous Linux, lancez free
pour vérifier la taille de l'espace de
swap. Vous devriez aussi redémarrer sous FreeBSD et vous assurer que tout
marche comme prévu. Si ce n'est pas le cas, vous avez probablement utilisé
la mauvaise partition pour le swap (depuis Linux). La seule solution est de
réinstaller FreeBSD et réessayer. On apprend beaucoup par l'expérience. :-)
Vous pouvez facilement démarrer FreeBSD avec LILO. N'installez pas le
chargeur de FreeBSD (Booteasy
) si vous voulez utiliser LILO. Ajoutez
les lignes suivantes à votre fichier /etc/lilo.conf
et relancez
lilo
(la tranche FreeBSD étant /dev/hda4
) :
other=/dev/hda4
table=/dev/hda
label=FreeBSD
Si vous avez installé FreeBSD sur le second disque SCSI, utilisez quelque
chose du type (la tranche FreeBSD étant /dev/sdb2
):
other=/dev/sdb2
table=/dev/sdb
loader=/boot/chain.b
label=FreeBSD
Malheureusement le support pour UFS dans les noyaux Linux 2.0.xx est bogué. Quand on essaye de monter un système de fichiers UFS, on obtient juste des messages d'erreur (le système de fichiers est monté, mais on ne peut rien y lire ou écrire). Ce problème a été résolu dans les versions récentes du noyau (depuis 2.1.87).
Il y a une autre version du support du système de fichiers UFS pour les
noyaux Linux 2.0.xx (xx <= 30) à
SunSite. Son nom
est U2FS et la version actuelle est u2fs-0.4.3.tar.gz
. Une
version d'U2FS (ufs-0.4.4.tar.gz
) pour Linux 2.0.31 et suivants
(2.0.xx, pas 2.1.xx) se trouve sur
ce site avec d'autres informations sur U2FS (et UFS.)
Maintenant il faut construire un nouveau noyau avec le support pour U2FS file system et BSD disklabel. Voyez la section Installer et préparer Linux pour plus d'informations. Vous pouvez laissez tomber le support pour UFS file system quand vous utilisez U2FS file system.
Quand vous avez installé le nouveau noyau, vous pouvez monter les systèmes de fichiers UFS (toutes les partitions dans la tranche FreeBSD sauf la partition de swap) avec une commande du type :
mount -t u2fs /dev/hda8 /mnt
Il faudra utiliser une commande du type :
mount -t ufs /dev/hda8 /mnt
si vous utilisez un noyau 2.1.87 ou supérieur. À partir de la version 2.1.112 il faut ajouter à la commande l'option -o ufstype=44bsd
:
mount -t ufs -o ufstype=44bsd /dev/hda8 /mnt
Le support UFS (et U2FS) est en lecture seule. Donc, vous pouvez lire depuis les systèmes de fichiers UFS mais pas y écrire. Un pilote UFS expérimental en lecture/écriture a remplacé le pilote en lecture seule à partir du noyau 2.1.112. L'écriture dans des partitions FreeBSD est supportée depuis la version 2.1.127.
Pour monter des systèmes de fichiers ext2fs sous FreeBSD, il faut construire un nouveau noyau avec le support pour ext2fs. Lisez le manuel FreeBSD en anglais ou en français si vous ne savez pas faire. Placez la ligne
options "EXT2FS"
dans votre fichier de configuration du noyau pour le nouveau noyau.
Quand vous avez démarré avec le nouveau noyau, vous pouvez monter un système de fichiers ext2fs avec une commande comme :
mount -t ext2fs /dev/wd0s3 /mnt
À cause d'une bogue dans FreeBSD 2.2.8 et précédents vous devrez démonter
tous les systèmes de fichiers ext2fs avant d'arrêter (shutdown)
FreeBSD. Si vous arrêtez FreeBSD avec un système de fichiers ext2fs monté,
FreeBSD ne peut pas faire le sync
sur les systèmes de fichiers
UFS. Cela résultera en un fsck
au prochain démarrage de FreeBSD. Vous pouvez arranger ça en plaçant la ligne:
umount -a -t ext2fsdans le fichier
/etc/rc.shutdown
. Cette bogue a été corrigée dans
FreeBSD-3.x.
Le paquetage iBCS
permet d'exécuter des binaires FreeBSD sous Linux,
mais il est vieux et non maintenu. Je n'arrive pas à le faire marcher. Si
vous avez eu plus de réussite que moi, merci de m'en informer.
FreeBSD a la capacité d'exécuter des binaires Linux, dans les deux formats a.out et ELF. Il faut procéder en trois étapes :
/etc/rc.conf
et changer
linux_enable="NO"
en
linux_enable="YES"
et redémarrer. Une autre façon de charger le support des binaires Linux est
d'exécuter la commande /usr/bin/linux
. Vous n'aurez pas à
redémarrer, et le support ne sera pas systématiquement chargé (gain de
mémoire). N'oubliez pas d'ajouter la ligne
options COMPAT_LINUXau fichier de configuration du noyau FreeBSD si vous compilez un nouveau noyau.
linux_lib-2.4.tgz
(il y a peut être des versions plus
récentes). Lancez la commande
pkg_add <rep_paquetage>/linux_lib-2.4.tgz
pour installer le paquetage. <rep_paquetage> est le
répertoire où se trouve le paquetage.
Vous pouvez aussi le charger depuis le réseau par :
pkg_add ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/packages-stable/All/linux_lib-2.4.tgzou en relançant
/stand/sysinstall
. Entrez ``Configure'', ``Packages'' et utilisez les menus. Si vous exécutez des binaires Linux statiquement liés, exécutez la commande suivante :
brandelf -t Linux <nom_du_binaire_linux_statiquement_lié>
J'ai exécuté avec succès les versions Linux d'Applixware 4.3 et de Netscape 3.01 (toutes deux en format ELF) sous FreeBSD 2.2.2 en utilisant cette méthode (oui, je sais qu'il existe une version FreeBSD de Netscape 4). Les versions Linux d'acroread et StarOffice 3 et 4 marchent bien sous FreeBSD. StarOffice 5 dépend des threads natives Linux et ne marche pas sous FreeBSD. Lisez la documentation de FreeBSD pour plus d'informations à ce sujet.
La dernière version de ce mini-HOWTO peut être trouvée sur ma page web en plusieurs formats (y compris SGML et PostScript). La version française peut être trouvée sur celle du traducteur. Ce document a été traduit en Japonais par M. Teruyoshi Fujiwara comme partie du projet JF.
Quelques articles sur la différence entre Linux et FreeBSD se trouvent ici.
Vous pouvez trouver plus d'informations sur FreeBSD (et rapatrier tout le système) à l'url FreeBSD Inc.. Vous pouvez aussi acheter le système sur CDROM chez Walnut Creek CDROM (leurs serveurs sont sous FreeBSD).
Le HOWTO du noyau Linux fait partie du Projet de Documentation Linux.
Merci aux membres du groupe d'utilisateurs *BSD du Danemark pour avoir répondu aux questions d'un nul en FreeBSD, à M. Takeshi Okazaki pour avoir porté à ma connaissance l'existence de U2FS et à M. David O'Brien pour ses précieuses suggestions.
Les marques appartiennent à leurs propriétaires.
Bien qu'ils pensent que les informations données dans ce document sont correctes, les auteurs n'accepteront aucune responsabilité quant au contenu de ce document. Utilisez les trucs et exemples à vos risques et péril.
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